Un nouveau pas décisif a été franchi dans la quête de la paix dans l’Est de la République Démocratique du Congo. Signé à Washington sous la médiation des États-Unis, cet accord marque une avancée majeure dans les efforts pour mettre un terme aux conflits qui déstabilisent la région depuis des décennies.
Selon le ministre Guy Loando Mboyo, qui s’est exprimé sur ses réseaux sociaux, cet accord est le fruit d’une diplomatie « cohérente et déterminée » impulsée par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Pour Kinshasa, l’engagement constant du Chef de l’État en faveur de la paix et de la stabilité reste la pierre angulaire de cette avancée.
Le gouvernement, sous la houlette de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka, a pleinement soutenu le processus. Entre action diplomatique, négociations techniques et travail de terrain, l’exécutif congolais affirme sa volonté de restaurer l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire national.
Une médiation américaine saluée
L’accord n’aurait pas pu voir le jour sans l’appui actif des partenaires américains. Guy Loando a particulièrement tenu à remercier l’ancien Président Donald Trump pour son rôle dans ce dossier sensible, saluant une coopération qui pourrait offrir une solution durable aux populations meurtries de l’Est.
La paix, enjeu majeur pour le développement
Pour les autorités, cette dynamique doit impérativement être préservée et consolidée. « Restons mobilisés pour préserver cette voie de la raison », a insisté le ministre. Car au-delà de la signature, tout reste à faire pour concrétiser sur le terrain les engagements pris, désarmer les groupes armés et permettre aux millions de déplacés de retrouver la sécurité et la dignité.
Avec cet accord, la RDC espère tourner enfin une page sombre de son histoire et offrir à ses populations une paix véritable, condition indispensable à la stabilité et au développement durable du pays.
Hornela Mumbela